Agenda des DS
CFTC
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21/12 : CCE
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11/12 : participation
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10/12 : GPEC et suivi
35h.
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7/12 : Comité Central
d'Entreprise
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5/12 : salaires
Délocalisations d’Airbus
et de Dassault et la BCE
Pour la CFTC, la
délocalisation de plusieurs sites d’Airbus et de Dassault Aviation serait
un nouveau mauvais coup porté à l’industrie française et européenne. Les
menaces récemment proférées par les deux avionneurs de faire fabriquer à
l’étranger des pans entiers d’avions, sous prétexte que l’euro est fort
par rapport au dollar, pénalisent ces derniers et nécessitent une réaction
de la part des pouvoirs publics. Ce sont, en effet, plusieurs milliers
d’emplois qui sont en cause et l’avenir de régions entières qui est
hypothéqué.
Si la preuve est faite que
la compétitivité d’Airbus et de Dassault Aviation est effectivement
affectée par l’euro fort, l’Etat doit mettre à profit la préparation de la
présidence française de l’Union européenne pour réclamer une modification
des statuts de la Banque
centrale européenne (BCE).
Celle-ci ne peut plus se
contenter d’être un simple accompagnateur de la politique économique et
financière, mais doit devenir un organisme qui influence la politique
sociale et le marché de l’emploi.
Ce que la BCE a fait en août dernier pour éviter un crack bancaire et
boursier en soutenant les spéculateurs, ne pourrait-il pas être fait pour
soutenir la croissance européenne et l’emploi lorsque les circonstances
l’exigent ? Il faut que la BCE cesse de jouer contre son camp en
maintenant des taux d’intérêt élevés.
A moins que les affirmations des deux avionneurs français ne soient qu’un
prétexte pour délocaliser et faire fabriquer leurs appareils dans des pays
où les salaires leur permettent de faire baisser davantage encore les
coûts de production au profit de la rémunération des actionnaires…
journées CFTC sur la diversité à la Grande Arche de la Défense
CFTC, CFDT et CGT,
signataires de l’accord interprofessionnel relatif à la diversité
souhaitent aller plus loin dans son application. Elles demandent son
extension à toutes les entreprises et rappellent ensemble leur attachement
à l’application effective de cet accord innovant. C’est un des moyens de
faire reculer les pratiques discriminatoires envers les personnes
d’origine étrangère ou supposées comme telles, notamment en matière
d’accès à l’emploi.
Sur ce thème, la CFTC organisait les 4 et
5 décembre les journées de la diversité à La Grande Arche de la
Défense à Paris.
Le ministre du Travail, Xavier Bertrand,
a ouvert la manifestation. Parmi les experts et témoins invités :
Pascale Coton, vice-présidente de la CFTC, chargée du problème des
discriminations, Vivian Goergen (Présidente du Comité des Femmes de
la Confédération Européenne des Syndicats et Secrétaire Générale de la
LCGB Luxembourgeoise), Loubna Romer (Observatoire des
Discriminations, Psychologue et Spécialiste RH), Michel Meunier
(Membre du Centre des Jeunes Dirigeants et Patron de PME), Louis
Schweitzer (Président de la Halde), Inès Minin (Présidente de
la Jeunesse Ouvrière Chrétienne), Abdellah Mezziouane (Secrétaire
Général de la CGPME 75), Mason Ewing (non voyant, Styliste
créateur).
SOGETI se réorganise en
2008
Un grand vent souffle sur Sogeti. Jusqu’à
lors, le groupe se composait en France de 5 entités : Services, AS, IS, HT
et Régions.
Tout en gardant les entités juridiques et
sociales en place, le groupe réorganise par métier le pole LPS : cinq
entités opérationnelles vont voir le jour. HT ne bouge pas, mais les
métiers de l’IS (Infrastructure Service) et AS (Application Services) vont
être découpés en deux, et Sogeti Régions serait répartie sur plusieurs
régions.
Le but annoncé est de mieux permettre les
échanges entre les professionnels de même métier. La CFTC veillera à ce
que cette évolution respecte les contrats de travail et que les Comités
d’Etablissement actuels puissent continuer leurs missions jusqu’à la fin
des mandats prévus. Nous ne permettrons pas que la direction organise à
nouveau une carence de la représentation du personnel, comme en 2005.
Pour en savoir plus, rapprochez vous de
vos élus au CE et CCE.
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Avancement des
négociations
Salaires :
l’application de l’accord défensif signé pour protéger les plus bas
salaires dans le groupe donnerait (projet d’accord) cette année, en
comptant la hausse des salaires minima indexés sur les minima Syntec, une
augmentation minimum garantie de 500 euros pour les 2% des salaires les
moins élevés pour chacune de nos entités, soit près de 380 personnes.
Au-delà, seules les augmentations « au
mérite » seront appliquées. La CFTC regrette que la direction refuse des
dispositions qui couvrent des populations plus larges de salariés. Elle
regrette également l’abandon (que nous souhaitons provisoire) du projet
d’intéressement. Nous demanderons à nouveau sa mise en chantier en 2008.
Participation – retraites :
La direction souhaite remettre en cause la formule dérogatoire de calcul
de la participation, ainsi que la rémunération (10%) des sommes bloquées,
en échange d’un dispositif de retraite abondé par l’entreprise.
La CFTC demande une péréquation de la
participation entre tous les salariés de l’UES, et la direction a fait un
premier pas dans ce sens avec une proposition de péréquation partielle.
Mais c’est encore insuffisant et le projet de plan de retraite ne convainc
pas. Négociation en cours, à suivre.
GPEC :
Les salariés de Grenoble bénéficient maintenant du dispositif équivalent à
l’Espace Carrière Mobilité d’Ile de France. Les étapes suivantes
nécessitent un accord en cours de négociation, la mise en place d’une
instance paritaire territoriale (démarrage ce mois) et des évolutions
législatives (la CFTC intervient sur ce sujet dans la négociation
nationale actuelle). A suivre, donc, et contacter notre élu à Grenoble
pour plus d’information : Jacques CROUZET. Anoter que l’ensemble de
l’accord GPEC doit être renégocié en 2008.
Les 2 autres pressions constatées de
l’humeur au bureau
5.
L’environnement de travail.
Le confort des locaux, notamment des open-space,
le manque de salles de réunion, le niveau sonore, voire la pénibilité
physique des tâches ou encore la durée des transports quotidiens influent
eux aussi sur le niveau de stress.
6.
La violence
Certains métiers en contact avec
l’extérieur de l’entreprise comportent des risques directs d’agression
verbale et physique de la part d’usagers ou de clients. En interne, la
violence est moins physique que psychologique. Dans les pires des cas,
elle peut mener à des situations de harcèlement particulièrement pénibles
et douloureuses…
Alors, le stress et l’anxiété au travail
reconnus comme une maladie professionnelle ? ce n’est sûrement pas encore
pour demain ! mais il importe déjà de surtout en parler sans tabou, car la
parole libère, et de tous s’y intéresser (salariés, OS, DP, CHSCT, CE avec
direction, hiérarchie, ..) pour que les gens soient moins stressés, qu’ils
se sentent mieux, et finalement qu’ils travaillent mieux pour le meilleur
profit de toute l’organisation. A SOGETI, comme dans toute l’UES
CAPGEMINI, Prévenir les situations de stress professionnel doit être une
vraie préoccupation permanente de la DRH et de toute la hiérarchie
opérationnelle, dans l’intérêt et pour la bonne marche de nos sociétés à
vocation de service.
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